Thérapie du crime, à paraître en mars 2018 !

Posté le 28 août 2017

J'en ai parlé sur Facebook hier, j'ai le nez dans l'écriture depuis quelques mois. Mais pour écrire quoi ? Thérapie du crime, entre autres, un romantic-suspens à paraître chez Pygmalion en mars 2018 et que j'ai hâte de vous présenter.

Je ne suis pas toute seule sur ce projet, loin de là. Mon ami, confrère et clown de la première heure, Maxime Gillio, met aussi les mains dans le cambouis pour donner vie au principal personnage masculin de ce roman.

Comme mars 2018, est encore loin, Maxime et moi vous livrons quelques informations.

Déjà, le chapitre 1 commence ainsi :

Alice Rivière

Psychologue clinicienne – psychothérapeute

Sexologue

Consultations individuelles ou en couple

Sur rendez-vous

 

Alice est donc psychologue, les couples sont sa spécialité. Mère célibataire, bien dans ses pompes, elle adore son métier... le secret professionnel aussi ! C'est pourquoi même un officier de police ne saurait lui soutirer des informations sur ses patients sans commission rogatoire (surtout s'il s'agit de son ex-petit ami, et que celui-ci lui a brisé le cœur seize ans plus tôt en la plaquant sans même un mot d'adieu).

Ce qu'elle va aimer la vengeance !

Alice et Marc sont un peu à notre image, mais je ne vous dirai pas pourquoi ! Sachez juste qu'il est têtu (comme Max bien sûr), et qu'elle peut être, si ce n'est plus, aussi agaçante que lui ! (Comme moi, mais à peine, ça va de soi !)

Cela dit, si Maxime pouvait écrire cet article à ma place, il dirait que bosser avec moi sur ce projet, c'est fun, à condition que le héros soit sexy, sinon, je sors la kalachnikov et deviens impossible à gérer.  Ben quoi ? J'ai toujours préféré Hugh Grant à Robert Eugène Louis Bidochon, pas de mal à ça !

Nous avons choisi de planter le décor au coeur de Lille et de faire de ce roman un aparté frais, drôle et réaliste.

C'est ainsi que vous entendrez Alice dire qu'apaiser, faire parler le subconscient des gens, c’est son truc, quitte à se servir d'un pistolet à eau « Pendant nos séances de thérapie, et tandis qu’il me parle de son désir profond, je lui envoie quelques petites giclées de temps à autre. » ou encore, Marc vous donner une définition très personnelle de l'asphyxiophile de base « Il a voulu se la jouer David Carradine, sauf qu’il lui serre un peu trop le kiki et n’arrive pas à la ranimer. »

Ce roman sera une mine d'informations pour les lecteurs les plus chevronnés, promis !

Quant à l'extrait un peu plus développé, il faudra attendre encore un peu, en coulisse, on me dit que c'est trop tôt.

À bientôt !  ;-)

 

 

 

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